Alors que les consciences s’éveillent face aux catastrophes naturelles causées par l’activité de l’homme, cette exposition propose de revisiter les relations que l’humanité entretient avec la nature à travers la notion esthétique et philosophique du « sublime », née au XVIIIe siècle en plein romantisme.
Ce voyage inédit où se croisent interrogations esthétiques, positions éthiques et débats écologiques, propose d’explorer cet attrait ambivalent, entre effroi et attirance, face à la puissance des éléments, à travers près de 300 œuvres, films et documents, de Léonard de Vinci à Richard Misrach en passant par William Turner, Agnes Denes et Lars von Trier.