Qu’il s’agisse de Nabucco dans l’opéra de Verdi, de Gilgamesh dans les jeux vidéo Final Fantasy, de Pazuzu dans le film L’Exorciste ou encore de Babylone chantée par Boney M, les références à la Mésopotamie sont nombreuses dans la culture contemporaine. Pourtant la civilisation mésopotamienne reste l’une des plus méconnues.
Située pour l’essentiel en Irak actuel, la Mésopotamie est considérée comme le berceau de l’économie moderne et de l’écriture avec laquelle commence l’Histoire. C’est aussi le pays des premières villes et des systèmes politiques et administratifs les plus anciennement connus. Si notre cadre de vie et nos croyances sont aujourd’hui bien différents de ceux de la Mésopotamie antique, ils n’en sont pas moins les héritiers de ces « inventions » fondamentales. C’est ce monde à la fois proche et lointain que fait découvrir le Louvre-Lens, à travers plus de 400 objets, dont de nombreux chefs-d’oeuvre et des pièces n’ayant encore jamais été montrées.
Le parcours thématique couvre plus de 3000 ans de l’histoire mésopotamienne, de la fin du 4e millénaire jusqu’au 4e siècle avant notre ère. L’exposition rappelle l’importance de ce patrimoine mondial, connu partiellement par la Bible et les auteurs antiques, et redécouvert à partir du 19e siècle grâce aux fouilles archéologiques. Or des sites tels que Nimroud, Hatra, Ninive ou Khorsabad sont aujourd’hui la cible de destructions et de trafic d’antiquités.
En 2015, le président de la République François Hollande a confié au président du Louvre, Jean-Luc Martinez, une mission sur la protection des biens culturels en situation de conflit armé. C’est dans ce cadre que le Louvre- Lens présente cette grande exposition sur la Mésopotamie.
Située pour l’essentiel en Irak actuel, la Mésopotamie est considérée comme le berceau de l’économie moderne et de l’écriture avec laquelle commence l’Histoire. C’est aussi le pays des premières villes et des systèmes politiques et administratifs les plus anciennement connus. Si notre cadre de vie et nos croyances sont aujourd’hui bien différents de ceux de la Mésopotamie antique, ils n’en sont pas moins les héritiers de ces « inventions » fondamentales. C’est ce monde à la fois proche et lointain que fait découvrir le Louvre-Lens, à travers plus de 400 objets, dont de nombreux chefs-d’oeuvre et des pièces n’ayant encore jamais été montrées.
Le parcours thématique couvre plus de 3000 ans de l’histoire mésopotamienne, de la fin du 4e millénaire jusqu’au 4e siècle avant notre ère. L’exposition rappelle l’importance de ce patrimoine mondial, connu partiellement par la Bible et les auteurs antiques, et redécouvert à partir du 19e siècle grâce aux fouilles archéologiques. Or des sites tels que Nimroud, Hatra, Ninive ou Khorsabad sont aujourd’hui la cible de destructions et de trafic d’antiquités.
En 2015, le président de la République François Hollande a confié au président du Louvre, Jean-Luc Martinez, une mission sur la protection des biens culturels en situation de conflit armé. C’est dans ce cadre que le Louvre- Lens présente cette grande exposition sur la Mésopotamie.