Exposition collective présentée dans le cadre de la saison En toute chose
Avec : Pedro Barateiro, Richard Brautigan, Isabelle Cornaro, Marjorie Keller, Lee Kit, Marie Lund, Michael E. Smith, Mika Ta jima, Marie Mathématique (Jacques Ansan, Jean-Claude Forest, Serge Gainsbourg, André Ruellan)
Conçue suivant un parcours ouvert composé de différentes « zones affectives », « Sous le regard de machines pleines d’amour et de grâce » réunit plusieurs artistes qui interrogent les impacts de l’économie de marché et des nouvelles technologies sur la fabrique de nos émotions et de leurs représentations.
En 1967, l’écrivain américain Richard Brautigan distribue dans les rues de San Francisco un court poème intitulé « All Watched Over by Machines of Loving Grace ». Il y décrit une harmonie « mutuellement programmée » entre les machines, les animaux et les êtres humains. Une utopie toutefois condamnée à échouer « sous le regard de machines pleines d’amour et de grâce ». Cinquante ans plus tard, si les machines sont partout, elles se sont paradoxalement effacées en intégrant tous les aspects de nos environnements de travail et de nos espaces domestiques.
À l’heure de l’Internet des objets, de l’économie numérique et de la marchandisation des affects, les oeuvres, pour la plupart inédites, présentées au sein de cette exposition reflètent l’influence des échanges monétaires, des flux de données numériques et des mouvements de marchandises, sur la fabrique de nos émotions, de leurs valeurs et de leurs représentations.
Avec : Pedro Barateiro, Richard Brautigan, Isabelle Cornaro, Marjorie Keller, Lee Kit, Marie Lund, Michael E. Smith, Mika Ta jima, Marie Mathématique (Jacques Ansan, Jean-Claude Forest, Serge Gainsbourg, André Ruellan)
Conçue suivant un parcours ouvert composé de différentes « zones affectives », « Sous le regard de machines pleines d’amour et de grâce » réunit plusieurs artistes qui interrogent les impacts de l’économie de marché et des nouvelles technologies sur la fabrique de nos émotions et de leurs représentations.
En 1967, l’écrivain américain Richard Brautigan distribue dans les rues de San Francisco un court poème intitulé « All Watched Over by Machines of Loving Grace ». Il y décrit une harmonie « mutuellement programmée » entre les machines, les animaux et les êtres humains. Une utopie toutefois condamnée à échouer « sous le regard de machines pleines d’amour et de grâce ». Cinquante ans plus tard, si les machines sont partout, elles se sont paradoxalement effacées en intégrant tous les aspects de nos environnements de travail et de nos espaces domestiques.
À l’heure de l’Internet des objets, de l’économie numérique et de la marchandisation des affects, les oeuvres, pour la plupart inédites, présentées au sein de cette exposition reflètent l’influence des échanges monétaires, des flux de données numériques et des mouvements de marchandises, sur la fabrique de nos émotions, de leurs valeurs et de leurs représentations.