Une fois encore, le Festival International des Jardins de Chaumont-sur-Loire saura vous surprendre avec des expériences inédites, au service de l’expression de la pensée, thème de cette 27ème édition du concours, dont le jury était présidé par l’écrivain Jean Echenoz.
Qu’ils se réfèrent à des univers d’auteurs célèbres, tels Jean-Jacques Rousseau, Octave Mirbeau, Marcel Proust ou George Luis Borges, à des légendes amérindiennes, au conte soufi de la Conférence des oiseaux ou qu’ils évoquent, physiquement, les cheminements de nos pensées, ces jardins ont été conçus par des équipes très inventives et très variées.
La diversité de leurs métiers est, en effet, à souligner : ces jardins ont été imaginés, cette année, par des paysagistes, des jardiniers, des architectes, des urbanistes, mais aussi par des scénographes, des metteurs en scène, des graphistes et même un anthropologue, un géographe, un ébéniste, une plumassière, tous très talentueux et très inspirés. Leurs provenances multiples est aussi le gage d’une grande fertilité des idées : ils sont originaires de Russie, des États-Unis, d’Allemagne, d’Italie, du Japon, de Corée du Sud, du Canada et de France, bien entendu.
Cette édition vous fera découvrir, entre autres singulières architectures vertes, de véritables “bulles” de pensée, un jardin de méditation japonais bleu Klein, radicalement contemporain, une spectaculaire anamorphose rouge, un sculptural livre de sable, une architecture en spirale inédite, un cloître contemporain orné de sublimes “fleurs de plume”, de délicats kokedamas figurant vos neurones… bref, une époustouflante combinaison d’idées, d’inventions et de poésie végétale.
Parallèlement à ces jardins issus du concours, de prestigieux invités seront également présents, cette année, à Chaumont-sur-Loire, tels le grand paysagiste artiste Bernard Lassus, le célèbre sculpteur de verre américain Dale Chilhuly, ou la remarquable équipe de l’OULIPO (Ouvroir de littérature potentielle), qui a conçu un stimulant Jardin des voyelles.
Du côté de l’exigence botanique, les “fous de jardin” que sont Pascal Garbe et Didier Willery célèbreront la pensée (Viola) dans tous ses états. Quant aux “libres penseurs” de Plantes et Cultures, ils nous entraîneront dans leur luxuriante bibliothèque végétale et vous feront partager leur “prétention de changer le monde avec leurs fleurs”.
Comme il se doit, avec les “jardins de la pensée”, l’édition 2018 du Festival s’annonce donc comme une année haute en couleurs et en idées.
Qu’ils se réfèrent à des univers d’auteurs célèbres, tels Jean-Jacques Rousseau, Octave Mirbeau, Marcel Proust ou George Luis Borges, à des légendes amérindiennes, au conte soufi de la Conférence des oiseaux ou qu’ils évoquent, physiquement, les cheminements de nos pensées, ces jardins ont été conçus par des équipes très inventives et très variées.
La diversité de leurs métiers est, en effet, à souligner : ces jardins ont été imaginés, cette année, par des paysagistes, des jardiniers, des architectes, des urbanistes, mais aussi par des scénographes, des metteurs en scène, des graphistes et même un anthropologue, un géographe, un ébéniste, une plumassière, tous très talentueux et très inspirés. Leurs provenances multiples est aussi le gage d’une grande fertilité des idées : ils sont originaires de Russie, des États-Unis, d’Allemagne, d’Italie, du Japon, de Corée du Sud, du Canada et de France, bien entendu.
Cette édition vous fera découvrir, entre autres singulières architectures vertes, de véritables “bulles” de pensée, un jardin de méditation japonais bleu Klein, radicalement contemporain, une spectaculaire anamorphose rouge, un sculptural livre de sable, une architecture en spirale inédite, un cloître contemporain orné de sublimes “fleurs de plume”, de délicats kokedamas figurant vos neurones… bref, une époustouflante combinaison d’idées, d’inventions et de poésie végétale.
Parallèlement à ces jardins issus du concours, de prestigieux invités seront également présents, cette année, à Chaumont-sur-Loire, tels le grand paysagiste artiste Bernard Lassus, le célèbre sculpteur de verre américain Dale Chilhuly, ou la remarquable équipe de l’OULIPO (Ouvroir de littérature potentielle), qui a conçu un stimulant Jardin des voyelles.
Du côté de l’exigence botanique, les “fous de jardin” que sont Pascal Garbe et Didier Willery célèbreront la pensée (Viola) dans tous ses états. Quant aux “libres penseurs” de Plantes et Cultures, ils nous entraîneront dans leur luxuriante bibliothèque végétale et vous feront partager leur “prétention de changer le monde avec leurs fleurs”.
Comme il se doit, avec les “jardins de la pensée”, l’édition 2018 du Festival s’annonce donc comme une année haute en couleurs et en idées.