Dessinée par Jean Nouvel et située sur les Quais d’Arenc, La Marseillaise s’inscrit dans le périmètre de l’opération de rénovation urbaine Euroméditerranée, projet porté par Constructa, premier promoteur indépendant français.
La Marseillaise marque un véritable tournant pour la cité phocéenne. Souhaitée par le promoteur artisan Constructa, cette tour de bureaux de 135 mètres de hauteur est une prouesse architecturale et technique mais aussi un projet économique et social durable. La Marseillaise abritera 35 000 m2 de bureaux, dotant ainsi la ville d'un outil immobilier professionnel et indispensable à toute métropole internationale.
Emblème d’un territoire tourné vers l’avenir, les Quais d’Arenc constituent un pont entre le passé et l’avenir de Marseille, en proposant un nouveau point de vue sur la ville et en offrant à ses habitants et ses entreprises un quartier qui se réinvente. Les Quais d’Arenc sont avant tout la matérialisation d’une haute vision métropolitaine : projet à la fois sociétal, esthétique, environnemental et économique, ils offrent au territoire marseillais un outil d'attractivité unique, tant par son ensemble architectural inédit que par sa localisation privilégiée.
La Marseillaise marque un véritable tournant pour la cité phocéenne. Souhaitée par le promoteur artisan Constructa, cette tour de bureaux de 135 mètres de hauteur est une prouesse architecturale et technique mais aussi un projet économique et social durable. La Marseillaise abritera 35 000 m2 de bureaux, dotant ainsi la ville d'un outil immobilier professionnel et indispensable à toute métropole internationale.
Légères, ses façades « bleu ciel », « blanc du rare nuage », « rouges ocre et brique des toitures et les murs environnants » font référence au paysage de la cité phocéenne. « Vue de l’extérieur, cette tour espère imprimer le ciel marseillais de ses lignes, confondre transparences et reflets, habiter ce morceau de ciel quadrillé de quelques pâles ombres et opales lumières, d’arbres et de personnages dont nous ne sommes jamais sûrs qu’ils existent vraiment puisqu’ils sont au ciel. »
Jean Nouvel