À l’automne 2018, le Palais de Tokyo invite Tomás Saraceno à prendre possession de l’ensemble des 13 000 m2 de ses espaces d’exposition pour la quatrième édition des « cartes blanches ». Entouré d’une équipe d’araignées, d’architectes, d’astrophysiciens et de chercheurs du monde entier, Tomás Saraceno s’empare de l’intégralité du Palais de Tokyo pour une Carte Blanche qui invite à repenser poétiquement notre manière d’être au monde.
Plus vaste projet jamais réalisé par l'artiste, dont la recherche se développe à la croisée des arts, de la science et de l'architecture, la carte blanche réunit une sélection de ses oeuvres majeures ainsi que d'ambitieuses nouvelles productions qui transforment le Palais de Tokyo en une expérience sensible inédite pour le visiteur.
L'espace d'exposition devient ainsi une membrane dans laquelle se déroule une chorégraphie aléatoire et évolutive, où la multiplicité, la richesse et la complexité des agents qui constituent l'univers, visibles et invisibles, humains et non humains, perceptibles et imperceptibles pour notre espèce, se révèlent comme les innombrables voix du concert du vivant. Soucieux de dépasser notre perception, d'explorer et de s'inspirer de celle d'autres êtres, Tomás Saraceno rend sensible un monde plus qu'humain, bien plus vaste que le champ de nos uniques perspectives, une polyphonie où coexistent les sons, les mouvements, les vibrations des espèces et des phénomènes, du microscopique et du cosmique.
Plus vaste projet jamais réalisé par l'artiste, dont la recherche se développe à la croisée des arts, de la science et de l'architecture, la carte blanche réunit une sélection de ses oeuvres majeures ainsi que d'ambitieuses nouvelles productions qui transforment le Palais de Tokyo en une expérience sensible inédite pour le visiteur.
L'espace d'exposition devient ainsi une membrane dans laquelle se déroule une chorégraphie aléatoire et évolutive, où la multiplicité, la richesse et la complexité des agents qui constituent l'univers, visibles et invisibles, humains et non humains, perceptibles et imperceptibles pour notre espèce, se révèlent comme les innombrables voix du concert du vivant. Soucieux de dépasser notre perception, d'explorer et de s'inspirer de celle d'autres êtres, Tomás Saraceno rend sensible un monde plus qu'humain, bien plus vaste que le champ de nos uniques perspectives, une polyphonie où coexistent les sons, les mouvements, les vibrations des espèces et des phénomènes, du microscopique et du cosmique.
Le travail de l'artiste révèle cet entremêlement des plus petites et des plus grandes échelles, et l'exposition dévoile les liens tissés par l'artiste entre une particule de poussière, des toiles d'araignées, ses architectures de villes nuages et la reconquête de l'atmosphère au travers du projet de l'Aerocene.