Le mouvement, thème fondateur dans la pratique de Rodin, croise le thème de la danse dans d’innombrables dessins et sculptures isolées, et culmine dans une série de treize terres cuites de 1910 appelées Mouvements de danse.
En mêlant les sculptures et les dessins de Rodin avec des objets et de la documentation provenant de sa collection personnelle, cette exposition tentera de saisir ce moment où art moderne et art antique, traditions occidentales et cultures orientales, mouvement et immobilité, animalité et harmonie se figent en une « extraordinaire beauté, une beauté parfaite, égale à la beauté grecque, mais qui a ses caractères particuliers ».