La Fondation Lafayette Anticipations invite Marguerite Humeau et Jean-Marie Appriou à imaginer un projet inédit déployé depuis la façade et la cour intérieure jusque dans tous les espaces d’exposition. Inspiré.e.s par l’architecture unique du bâtiment, les deux artistes construisent une odyssée sous la forme d’un jardin d’un nouveau genre. Au travers de plusieurs scènes évoquant la catastrophe, le renouveau, la trêve, les temps cosmiques ou encore l’ailleurs, le scénario de l’exposition “Surface Horizon”, imaginé par Marguerite Humeau, prend la forme d’une promenade dans laquelle le.la visiteur.euse rencontre ces paysages évocateurs. Constituée de plantes, de serres, de sculptures et de la présence d’individus doués de perceptions “extrasensorielles”, cette expérience invite à penser les mondes à venir et panser le monde présent.
“Surface Horizon” est une fable, un opéra, une science-fiction composée des œuvres mêlées des deux artistes. Partant d’une étude de Marguerite Humeau de plusieurs mois sur le pouvoir des “mauvaises herbes”, devenues les personnages principaux de ce projet, l’exposition célèbre des espèces, des sentiments et des histoires marginalisées. Marguerite Humeau y déploie des sculptures et des “performances végétales” inspirées de la théorie des signatures, immémoriale recherche sur les plantes médicinales qui voit dans leurs silhouettes la forme des parties du corps humain qu’elles peuvent soigner. Y répondent les scènes de Jean-Marie Appriou qui, du mythe de l’homme “cueilleur semeur glâneur” à la communauté des Ama japonaises, pêcheuses d’algues en apnée, font des relations humaines et non-humaines des visions fantastiques et oniriques propices à la métamorphose.
“Surface Horizon” est une fable, un opéra, une science-fiction composée des œuvres mêlées des deux artistes. Partant d’une étude de Marguerite Humeau de plusieurs mois sur le pouvoir des “mauvaises herbes”, devenues les personnages principaux de ce projet, l’exposition célèbre des espèces, des sentiments et des histoires marginalisées. Marguerite Humeau y déploie des sculptures et des “performances végétales” inspirées de la théorie des signatures, immémoriale recherche sur les plantes médicinales qui voit dans leurs silhouettes la forme des parties du corps humain qu’elles peuvent soigner. Y répondent les scènes de Jean-Marie Appriou qui, du mythe de l’homme “cueilleur semeur glâneur” à la communauté des Ama japonaises, pêcheuses d’algues en apnée, font des relations humaines et non-humaines des visions fantastiques et oniriques propices à la métamorphose.