Anish Kapoor dévoile une dizaine d’œuvres présentées pour la première fois à Peyrassol.
Cette exposition est réalisée sous le commissariat de Lorenzo Fiaschi, cofondateur de la Galleria Continua.
Ces réalisations viscérales occupent l’espace de manière agressive. Impossibles à ignorer, elles constituent une masse primitive et informe. Cette forme étrange n’est pas assez familière pour être attribuée à une créature. Elle semble une manifestation détachée d’un fantasme, étranger et lointain. Au seuil de la réalité, elle échappe au discernement tout en laissant apparaître un caractère étonnamment humain.
Cette exposition est réalisée sous le commissariat de Lorenzo Fiaschi, cofondateur de la Galleria Continua.
Ces réalisations viscérales occupent l’espace de manière agressive. Impossibles à ignorer, elles constituent une masse primitive et informe. Cette forme étrange n’est pas assez familière pour être attribuée à une créature. Elle semble une manifestation détachée d’un fantasme, étranger et lointain. Au seuil de la réalité, elle échappe au discernement tout en laissant apparaître un caractère étonnamment humain.
Depuis les années 1980, les peintures dites “saignantes» font partie de l’œuvre d’Anish Kapoor. La transformation de la matière en chair remonte à la Grèce antique, où souvent les sculpteurs répandaient des gouttes de sang sur leurs créations figuratives pour rendre les blessures plus réalistes.
Pour cette exposition, le plasticien exerce sa maîtrise du matériau et de la couleur rouge, propre à ses sculptures, à travers une approche différente. En utilisant le silicone, fibre résine, gaze, Anish Kapoor provoque une association puissante et passionnée avec le sang et la chair humaine.
Pour cette exposition, le plasticien exerce sa maîtrise du matériau et de la couleur rouge, propre à ses sculptures, à travers une approche différente. En utilisant le silicone, fibre résine, gaze, Anish Kapoor provoque une association puissante et passionnée avec le sang et la chair humaine.