Les expositions ouvriront en deux temps, le 14 avril et le 1er juillet.
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Le 14 avril 2022, LUMA Arles ouvrira la première grande exposition en France consacrée à l’Américain Arthur Jafa. Arthur Jafa développe une pratique transdisciplinaire, recourant à différents médias tels que la vidéo, la musique, la sculpture et le son. Son travail explore la culture noire américaine, l’intensité des éléments qui la définissent et les évolutions historiques qui ont radicalement transformé la compréhension contemporaine du son, de la musique et de l’image, notamment la performance et les médias enregistrés. L’exposition présentera des œuvres majeures de l’artiste, ainsi que des travaux récents, spécialement conçus pour LUMA, révélateurs de ses idées radicales et de son esprit révolutionnaire.
Toujours en avril, LUMA Arles présentera la première exposition en France de l’artiste amérindien Sky Hopinka. Membre de la nation Ho-Chunk du Wisconsin et des Pechanga Band of Luiseño Indians, Sky Hopinka est reconnu pour son travail photographique et vidéographique, fruit de réflexions personnelles sur le territoire et le paysage autochtones, dans lequel la langue, porteuse de culture, occupe une place de choix. À travers le cinéma expérimental, Sky Hopinka contribue au développement d’une esthétique indigène. Son approche résolument subjective ébranle les perspectives coloniales établies et les descriptions associées de la terre, du ciel, de la mer, des mythes, des lieux et de l’identité. L’étude et l’enseignement de la langue indigène chinuk wawa occupent également une grande place dans son travail. Ses films, généralement sous-titrés en anglais et en chinuk wawa ou en hočąk (langue des Ho-Chunk), questionnent la perception de systèmes linguistiques différents et des identités auxquels ils renvoient.
Toujours en avril, LUMA Arles présentera la première exposition en France de l’artiste amérindien Sky Hopinka. Membre de la nation Ho-Chunk du Wisconsin et des Pechanga Band of Luiseño Indians, Sky Hopinka est reconnu pour son travail photographique et vidéographique, fruit de réflexions personnelles sur le territoire et le paysage autochtones, dans lequel la langue, porteuse de culture, occupe une place de choix. À travers le cinéma expérimental, Sky Hopinka contribue au développement d’une esthétique indigène. Son approche résolument subjective ébranle les perspectives coloniales établies et les descriptions associées de la terre, du ciel, de la mer, des mythes, des lieux et de l’identité. L’étude et l’enseignement de la langue indigène chinuk wawa occupent également une grande place dans son travail. Ses films, généralement sous-titrés en anglais et en chinuk wawa ou en hočąk (langue des Ho-Chunk), questionnent la perception de systèmes linguistiques différents et des identités auxquels ils renvoient.
Les accrochages de la Collection Maja Hoffmann / LUMA Foundation seront renouvelés pour accueillir des œuvres de Tacita Dean, Ólafur Elíasson, Joan Jonas, Sigmar Polke et Elaine Sturtevant, avec une nouvelle commande de Precious Okoyomon Quadrophonic Playground, Exploding Hearts, Errant Roots (Achatina fulica). Seront également nouvellement exposées des œuvres de Cyprien Gaillard et Rachel Rose.
Les commissions permanentes d’Etel Adnan, Kerstin Brätsch, Ólafur Elíasson, Liam Gillick, Konstantin Grcic, Carsten Höller, Koo Jeong A, Helen Marten, Philippe Parreno, Rirkrit Tiravanija et Franz West, les installations de John Akomfrah, Dominique Gonzalez-Foerster et Anri Sala, la commission de Tino Seghal, ainsi que La bibliothèque est en feu, continueront d’être présentées dans La Tour et le parc paysager.
