Laure Prouvost, artiste vidéaste, déploie des installations poétiques où les images quittent les écrans pour venir à la rencontre des spectateurs à travers objets, sculptures et matières. Son langage est onirique et peut évoquer les imaginaires surréalistes. Il suggère aussi tout en finesse les valeurs chères à l’artiste : la célébration du vivant et de ses transformations, la fluidité de tout ce qui nous lie, nous, êtres humains, à nos égaux, à nos prédécesseurs, aux environnements que nous habitons, à la faune et à la flore.
Pour sa carte blanche au Mucem, l'artiste s'inspire de plusieurs objets découverts dans les réserves du musée, afin de leur insuffler une vie nouvelle, de les emporter dans un récit fait de magie et de métamorphoses, au cœur d'une célébration sensorialiste de la vie et des histoires qui la trament.
Pour cela, l'artiste poursuit son exploration du travail du verre et de la prise de vue sous-marine, créant une vidéo inédite avec des acteurs apnéistes, dans les calanques de Marseille.
Ses œuvres, créées spécifiquement pour l'exposition, sont montrées dans des lieux d'habitude inaccessibles au fort Saint-Jean. Les publics sont invités à une déambulation aux multiples surprises patrimoniales et artistiques, jusque dans les murailles du fort. Visible depuis le Vieux Port, une sculpture-girouette installée au sommet de la tour du roi René signale l'exposition. De la chapelle à la casemate, près de la montée des canons, en passant par la salle d'exposition qui domine le fort Saint‑Jean, les visiteurs et visiteuses découvrent trois autres installations monumentales et spectaculaires, où des objets du quotidien parfois évocateurs de la Méditerranée, de sa faune et de sa flore apparaissent, disparaissent ou se métamorphosent au gré des tours de magie visuelle et poétique imaginés par l’artiste.
Pour sa carte blanche au Mucem, l'artiste s'inspire de plusieurs objets découverts dans les réserves du musée, afin de leur insuffler une vie nouvelle, de les emporter dans un récit fait de magie et de métamorphoses, au cœur d'une célébration sensorialiste de la vie et des histoires qui la trament.
Pour cela, l'artiste poursuit son exploration du travail du verre et de la prise de vue sous-marine, créant une vidéo inédite avec des acteurs apnéistes, dans les calanques de Marseille.
Ses œuvres, créées spécifiquement pour l'exposition, sont montrées dans des lieux d'habitude inaccessibles au fort Saint-Jean. Les publics sont invités à une déambulation aux multiples surprises patrimoniales et artistiques, jusque dans les murailles du fort. Visible depuis le Vieux Port, une sculpture-girouette installée au sommet de la tour du roi René signale l'exposition. De la chapelle à la casemate, près de la montée des canons, en passant par la salle d'exposition qui domine le fort Saint‑Jean, les visiteurs et visiteuses découvrent trois autres installations monumentales et spectaculaires, où des objets du quotidien parfois évocateurs de la Méditerranée, de sa faune et de sa flore apparaissent, disparaissent ou se métamorphosent au gré des tours de magie visuelle et poétique imaginés par l’artiste.